Voir autrement.


À l’occasion d’un atelier culturel chez mes amis algonquin Dominique Rankin et Marie-Josée Tardiff, j’ai livré (ci-contre) une petite réflexion sur ma manière de vivre la cécité, en gros sous l’angle d’une attention accrue aux autres sens et à l’observation de la nature…

Cet extrait a une suite, que Gérald a nommée « Canneblanchator » et qu’il a utilisée dans la section qu’il me consacre à la première personne, pour une page destinée à illustrer et relativiser la cécité en tant que handicap et qu’il a intitulée « Nous, les voyants ».

D’une certaine manière, cette vidéo résume assez bien ma « petite philosophie » en matière de cécité, mais j’ai choisi de conserver malgré tout le texte que j’avais écrit sur ce sujet antérieurement, et de le placer dans la page qui suit : « Une façon de voir ».
Cette section continue ensuite avec diverses déclinaisons spécifiques sur ce thème d’une cécité « active ». C’est ainsi que la page « Dans le noir », plus loin dans ce chapitre, reprend un texte que j’avais aussi déjà publié, rédigé par ma tante Muriel Flies-Trèves, mais en vous donnant accès au site internet et à deux vidéos concernant cette initiative, de structures gérées et animées par des aveugles et attirant l’attention des voyants sur l’intérêt des autres sens, dès qu’on se prive de la vision.